Mixo`
09/07/2010, 11h34
Laissez moi vous conter une horrible histoire vraie.
Nous sommes dans la nuit de jeudi 8 juillet au 9 juillet. Il est 5h00.
Il fait 30°C dans ma chambre, je dors très mal depuis que je me suis couché, il n'y a pas d'air, et le ventilo brasse ni plus ni moins que de l'air chaud. Finalement, un petit orage éclate. Je m'empresse d'ouvrir la fenêtre et de profiter d'un peu d'air frais. Ah ça fait du bien...
5h30, l'orage est passé, il est temps de me rendormir maintenant qu'il fait un peu plus frais. Je me recouche donc, surtout qu'il faut se lever à l'aube pour aller bosser, c'est à dire 8h35. Et là curieusement, j'ai une sensation désagréable à la tête, comme si mes cheveux... bougeaient. Humf. Surement le vent du ventilo. Puis je me mets à entendre comme des petits grattements dans l'oreiller. Je me relève à moitié dans le gaz, rien. Peut être est-ce mon imagination, je rentrais d'une soirée un petit peu arrosée d'ailleurs, plus la fatigue... Ça doit être ça. Je me recouche. Stupéfaction, ça se remet à gratter, à bouger... Je pose ma main sur l'oreiller et là, HORREUR, je sens quelque chose de dur qui bouge sous la taie d'oreiller !!!
Grand cri dans la chambre je me lève en un bond. Ma copine se réveille et me demande ce qu'il y a, je reste à regarder mon oreiller hagard. Et je lui dis : "Y a... de la vie dans mon oreiller, j'ai touché un truc vivant !".
Quelques secondes pour réaliser ce qui arrive plus tard, je décide de transporter l'oreiller dans le couloir. Ma copine me propose de le laisser là bas, d'en prendre un autre et de nous rendormir, mais non, il faut que je sache ce que c'est.
J'allume donc la lumière du couloir, respire un grand coup et je commence à retirer la première taie d'oreiller (ah oui, je mets toujours deux taies d'oreiller, l'une sur l'autre, pour diverses raisons). Rien. Je respire de nouveau un grand coup, et je commence à retirer la seconde... Rien. Je décide donc de palper mon oreiller, nu (l'oreiller, pas moi voyons), pour voir si il y avait quelque chose dedans. Ouf, rien.
Je ramène l'oreiller nu à ma copine, et lui dit que "la chose ne peut être que dans une des taies...".
Je retourne donc dans le couloir, et entreprend de vérifier minutieusement le tissu. La première taie ne donne rien. Finalement je m'attaque à la seconde, sachant pertinemment que la chose ne pouvait qu'être là... Tremblottant, m'attandant à chaque seconde à voir sortir une énorme araignée, un scorpion ou un Lurikeen, je commence à la retourner... Quand soudain, la bête surgit !
http://www.youtube.com/watch?v=idLG6jh23yE
La bête surgit donc !
Je fais un bon d'un mètre et contemple l'impossible. Un être s'est faufilé dans ma taie d'oreiller. Comment, quand, je ne le sais pas. Tout ce que je sais, c'est que j'ai dormi avec et contre un insecte... de 3 cm de long, 5 mm de large, noir et plutôt dodu. Quelle horreur ! Prenant ma tong dans la main, je m'apprête à exterminer cet intrus. Et là, aussi incroyable que ça puisse paraitre, l'insecte, qui avançait péniblement et hagard sur mon parquet, surement étourdi par une nuit agitée, se retourne vers moi, et semble me regarder.
Je suis là, avec ma tong, au milieu de mon couloir avec une tong à la main, en tête à tête avec un insecte. Et pourtant, je ne l'écrase pas. Je décide, attendri par cette petite bête qui semble me demander grâce avec ses petits mouvements d'antennes, de le capturer puis le relâcher dehors. Je me rends donc dans ma chambre à nouveau pour chercher de quoi le capturer, et aussi raconter tout l'histoire à ma copine, qui comâte sans trop réaliser ce qui se passe.
De retour dans le couloir prêt à capturer ma proie, voilà qu'elle a disparu ! Seules deux taies gisent sur le sol. Je suis donc obligé une nouvelle fois d'explorer ma taie pour retrouver l'insecte. Finalement je le retrouve, et m'apprête à le capturer. Et là, il commence à sortir ses... ailes. Il tente un décollage, sans succès. Excédé, je prends finalement ma tong, et paf l'insecte. Ça c'est fait.
Voilà donc le récit incroyable de ce petit épisode assez troublant. A quel moment cet insecte à t'il pu se faufiler dans mon oreiller ? Je ne le saurais jamais. Et surtout comment a t'il fait... La taie est en effet plutôt serrée. Et en pleine ville, il y a pas beaucoup d'insectes. C'est pas de bol dis donc.
Je frissonne encore en me disant qu'il aurait pu explorer d'autres orifices plutôt que mon oreiller...
Nous sommes dans la nuit de jeudi 8 juillet au 9 juillet. Il est 5h00.
Il fait 30°C dans ma chambre, je dors très mal depuis que je me suis couché, il n'y a pas d'air, et le ventilo brasse ni plus ni moins que de l'air chaud. Finalement, un petit orage éclate. Je m'empresse d'ouvrir la fenêtre et de profiter d'un peu d'air frais. Ah ça fait du bien...
5h30, l'orage est passé, il est temps de me rendormir maintenant qu'il fait un peu plus frais. Je me recouche donc, surtout qu'il faut se lever à l'aube pour aller bosser, c'est à dire 8h35. Et là curieusement, j'ai une sensation désagréable à la tête, comme si mes cheveux... bougeaient. Humf. Surement le vent du ventilo. Puis je me mets à entendre comme des petits grattements dans l'oreiller. Je me relève à moitié dans le gaz, rien. Peut être est-ce mon imagination, je rentrais d'une soirée un petit peu arrosée d'ailleurs, plus la fatigue... Ça doit être ça. Je me recouche. Stupéfaction, ça se remet à gratter, à bouger... Je pose ma main sur l'oreiller et là, HORREUR, je sens quelque chose de dur qui bouge sous la taie d'oreiller !!!
Grand cri dans la chambre je me lève en un bond. Ma copine se réveille et me demande ce qu'il y a, je reste à regarder mon oreiller hagard. Et je lui dis : "Y a... de la vie dans mon oreiller, j'ai touché un truc vivant !".
Quelques secondes pour réaliser ce qui arrive plus tard, je décide de transporter l'oreiller dans le couloir. Ma copine me propose de le laisser là bas, d'en prendre un autre et de nous rendormir, mais non, il faut que je sache ce que c'est.
J'allume donc la lumière du couloir, respire un grand coup et je commence à retirer la première taie d'oreiller (ah oui, je mets toujours deux taies d'oreiller, l'une sur l'autre, pour diverses raisons). Rien. Je respire de nouveau un grand coup, et je commence à retirer la seconde... Rien. Je décide donc de palper mon oreiller, nu (l'oreiller, pas moi voyons), pour voir si il y avait quelque chose dedans. Ouf, rien.
Je ramène l'oreiller nu à ma copine, et lui dit que "la chose ne peut être que dans une des taies...".
Je retourne donc dans le couloir, et entreprend de vérifier minutieusement le tissu. La première taie ne donne rien. Finalement je m'attaque à la seconde, sachant pertinemment que la chose ne pouvait qu'être là... Tremblottant, m'attandant à chaque seconde à voir sortir une énorme araignée, un scorpion ou un Lurikeen, je commence à la retourner... Quand soudain, la bête surgit !
http://www.youtube.com/watch?v=idLG6jh23yE
La bête surgit donc !
Je fais un bon d'un mètre et contemple l'impossible. Un être s'est faufilé dans ma taie d'oreiller. Comment, quand, je ne le sais pas. Tout ce que je sais, c'est que j'ai dormi avec et contre un insecte... de 3 cm de long, 5 mm de large, noir et plutôt dodu. Quelle horreur ! Prenant ma tong dans la main, je m'apprête à exterminer cet intrus. Et là, aussi incroyable que ça puisse paraitre, l'insecte, qui avançait péniblement et hagard sur mon parquet, surement étourdi par une nuit agitée, se retourne vers moi, et semble me regarder.
Je suis là, avec ma tong, au milieu de mon couloir avec une tong à la main, en tête à tête avec un insecte. Et pourtant, je ne l'écrase pas. Je décide, attendri par cette petite bête qui semble me demander grâce avec ses petits mouvements d'antennes, de le capturer puis le relâcher dehors. Je me rends donc dans ma chambre à nouveau pour chercher de quoi le capturer, et aussi raconter tout l'histoire à ma copine, qui comâte sans trop réaliser ce qui se passe.
De retour dans le couloir prêt à capturer ma proie, voilà qu'elle a disparu ! Seules deux taies gisent sur le sol. Je suis donc obligé une nouvelle fois d'explorer ma taie pour retrouver l'insecte. Finalement je le retrouve, et m'apprête à le capturer. Et là, il commence à sortir ses... ailes. Il tente un décollage, sans succès. Excédé, je prends finalement ma tong, et paf l'insecte. Ça c'est fait.
Voilà donc le récit incroyable de ce petit épisode assez troublant. A quel moment cet insecte à t'il pu se faufiler dans mon oreiller ? Je ne le saurais jamais. Et surtout comment a t'il fait... La taie est en effet plutôt serrée. Et en pleine ville, il y a pas beaucoup d'insectes. C'est pas de bol dis donc.
Je frissonne encore en me disant qu'il aurait pu explorer d'autres orifices plutôt que mon oreiller...